Le DĂ©sordre et la Nuit
Torpenn L'Oeuf et la poule
C'est une banale histoire policière dans les nuits parisiennes des années cinquante, le révulsant patron de l'Oeuf, club de jazz interlope, se fait dessouder au bois de Boulogne alors qu'il attend un mystérieux fournisseur, le placide Jeannot est chargé d'une enquête qui ne fait pas de vagues et puis, un frais minois apparait. Nadja Tiller joue Lucky, petit Munichoise paumée dans la drogue, l'ancienne Miss Autriche a vingt-sept ans, un peu plus que le rôle mais ce n'est plus mal, Gabinou. Lire la critique de Le Désordre et la Nuit
Broyax Critique de Le DĂ©sordre et la Nuit par Broyax
Un "Gabin" assez monolithique, les mains dans les fouilles (on dirait Maigret) qui tarde d'ailleurs à se montrer, puisqu'il faut attendre que le cave Roger Hanin aille voir ailleurs et sorte enfin de son "club", sorte de boîte de jazz à la clientèle bon chic bon genre. Reste tout de même que malgré toute la bonne volonté du monde, le dabe s'entiche d'une petite Autrichienne (qui incarne une Bavaroise mais peu nous importe) à l'accent aussi charmant que tout le reste, à savoir la. Lire l'avis à propos de Le Désordre et la Nuit
2 novembre 2016
Posts Le DĂ©sordre et la Nuit
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Critiques. avis d'internautes (16)
Le DĂ©sordre et la Nuit
Nous avons tous connu ces nuits d'errances commencées dans une boite de nuit, poursuivies dans une soirée privée et finies soit dans le lit d'une copine, soit en accompagnant un copain aux urgences, ou tout simplement dans un bistrot qui sert les petits déjeuners. C'est dans ce cadre que l'inspecteur Valois (Gabin) mène son enquête sur le meurtre d'un voyou dans les milieux interlopes de la. Lire la critique de Le Désordre et la Nuit
-Marc- · 31 octobre 2016
Critique de Le DĂ©sordre et la Nuit par Jocelyn Manchec
Film de la rencontre Gabin/Audiard (un Audiard déjà sensible sans être envahissant), Le Désordre et la Nuit n'est pas tout à fait ce quoi il a d'abord l'air d'être. Pour celui qui craindra, à la seule vue des photos d'exploitation, de s'enquiller une variation post-Beckerienne autour des boîtes de Paname ou de devoir se fader un sage précédent sur la prochaine Chnouf sur laquelle on fera. Lire la critique de Le Désordre et la Nuit
Jocelyn Manchec · 3 juillet 2015
Gabin, première époque, clap de fin.
C’est vrai, ça n’a d’autre intérêt qu’ethnographique, à un double titre. d’abord l’atmosphère du Paris de 1958, de boîtes de nuit à l’ambiance jazzy, où la clientèle n’est pas composée que de jeunots (le jeunisme ne s’est imposé que cinq ou six ans plus tard jusqu’à remplir complètement le paysage) et où l’on s’habille encore pour sortir (sans porter, comme dix ou vingt ans auparavant. Lire la critique de Le Désordre et la Nuit
Impétueux · 2 juillet 2013
Un film policier sur un ton léger malgré son sujet plutôt grave. Ca fonctionne. Le gros défaut du film, c'est Gabin. Il est des scènes dans lesquelles il joue bien, mais il y en a où il peine vraiment à convaincre avec sa voix monotone (par exemple la scène de l'accident. ). En suite il y a quelques lenteurs au début ; cela permet d'installer l'ambiance, le cadre, les personnages féminins. Lire l'avis à propos de Le Désordre et la Nuit
Fatpooper · 25 mars 2013
DĂ©couverte Le DĂ©sordre et la Nuit
Ce n'est pas un polar à la papa, c'est autre chose. Le cadavre de Roger Hanin est un prétexte, un MacGuffin comme dirait Alfred, pour amener Jean Gabin sur une pente dangereuse. Pas de revolver, pas de flic ou voyou, pas de descente de poulets ou alors pour un simple contrôle d'identité. Rien de tout cela, juste la nuit, les bars vides ou les boites pleines, les noceurs ridicules et les. Lire la critique de Le Désordre et la Nuit
Seance-sup-0H30 · 17 avril 2017